Savon bio verveine au lait d’ânesse

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Description

Savon bio petit grain au lait frais d’ânesse – Ozoane

L’huile essentielle de verveine est idéale pour les soins de la peau. Elle est reconnue pour ses effets astringents et tonifiants sur la peau. Elle est efficace contre les dermites, l’eczéma inflammatoire, les mycoses, la peau grasse ainsi que les troubles cutanés inflammatoires.

Ce savon bio au lait d’ânesse va nourrir et hydrater la peau, sans l’agresser car il n’y a aucun agent agressif à l’intérieur (parfum, colorant etc.…)
Sa fabrication, à base de lait frais d’ânesse associé à de l’huile de palme et de coprah, vous donne un savon de qualité SURGRAS.
Il convient à tout type de peau : Grasse, Sèche, Mixte, Normale.
Le lait d’ânesse va agir comme un régénérant de part sa composition exceptionnelle en vitamines (A, B1, B2, B6, C, D, E) ses minéraux et oligo-éléments.
Composition :
Sodium palmate*, sodium palm kermelate*, aqua, equus asinus lac, huile essentielle de litsea cubeta*, glycerin, sodium chloride, sodium hydroxyde.
100 % du total des ingrédients sont d’origines naturelle
81.05 % du total des ingrédients sont issus de l’agriculture biologique
*issu de l’agriculture biologique
 

Les cosmétiques au lait d’ânesse Ozoane – L’Asinerie de Béatrice Barthès : Le respect des ânes 

….M’intéressant au lait d’ânesse depuis plusieurs années, j’ai décidé de m’installer jeune agricultrice le 1er janvier 2002 et de participer à la renaissance de ce breuvage oublié.

Mon troupeau s’est constitué au fil du temps.

La sélection de mes ânesses est basée sur leurs qualités maternelle et laitière.

Dans de nombreuses espèces le lait est disponible dans une “citerne” réceptrice située sous les acini et ouverte par les tétines.

Lors de la traite ce lait est immédiatement libéré par l’émission d’une hormone: L’ocytocine. Cette hormone est sécrétée par l’animal sous l’action de certains stimuli: vue du petit, bruits de traite, voix et conditions agréables…

Chez l’ânesse, il n’y a pas de “citerne” d’où la difficulté à obtenir le lait. En raison du non-stockage il y a peu de lait à la fois. Il faut traire quatre à six fois par jour.

J’ai fait le choix de ne pas élever une race d’âne précise, mais d’avoir un cheptel multi-taille et multi-couleur.

Les ânesses à la traite ont du foin à volonté et un supplément d’environ 4 kg par jour de ration (cela dépend de la taille des ânesses).

Quand elles ne sont pas à la traite, elles vaquent sur les 10 hectares de l’exploitation.

En période hivernale, elles bénéficient de foin récolté sur l’exploitation et d’une ration de céréales germées ainsi qu’un complément adapté à leur gestation.

Quand les ânons sont séparés de leur mère les jours de traite, ils bénéficient de foin à volonté et d’un supplément de ration.

La traite peut commencer quand l’ânon a 2 mois minimum.

Cela sous-entend qu’il est capable de s’alimenter tout seul.

Le rythme des traites n’est pas quotidien dans un souci de ne pas perturber la croissance des ânons.

Grâce à la vingtaine d’ânesses présentes au sein de l’asinerie, le lait coule toute l’année.

 

 

 

 

 

 

 

 

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